Treize personnes interpellées en Corée du Sud suite à des hacks et matchs truqués sur Overwatch

La triche dans Overwatch est un sujet que Blizzard prend particulièrement au sérieux. Avec l'arrivée de l'Overwatch League, elle a même pris une autre dimension au vu des sommes folles qui sont déboursées par les différentes équipes. La société prend donc toutes les mesures nécessaires afin de maintenir un championnat sain. Dans ce but, on apprend que le département Cyber Security de la police de Séoul a mis en examen treize personnes accusées de hacks et de matchs truqués.

En Corée du Sud, une loi récente indique d'ailleurs que les fraudeurs s'exposent à deux ans de prison et à un peu moins de 15.000€ d'amende s'ils sont jugés coupables. Yep, ça ne rigole pas, et cela concerne aussi bien les hacks que la mise à disposition de bots ou de serveurs privés.

L'idée est ainsi de maintenir un eSport propre, de la même manière que l'état tente de le faire avec le sport traditionnel. Les sportifs dopés sont punis, il doit en aller de même si un joueur de FPS utilise un aimbot ou prend des médicaments pour augmenter ses réflexes ou son attention lors des compétitions officielles.

Blizzard had requested a through investigation to the Seoul National Police Agency Cyber Security Department regarding the domestic illegal program developers in the black market that include hacking and match-fixing. The investigation has lasted 1 year from January 2017 to December 2017. After a long period of examination a total of 13 suspects have been sent to the public prosecutor’s office under allegations of violating the Game Industry Promotion Law and ICT (Information and Communication Technology) protection Law.  (traduction anglaise par Unikrn)